Le pingouin monogame fêtait déjà Noël

Aïe Aïe Aïe... je ne trouve plus le temps d'écrire ici, parce que la réserve déborde vraiment, vraiment de cartons. Dedans ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un truc bouleversant. Un truc qui fait parler. Un truc qui dépasse tout, et de loin. Pourquoi tout me semble fade à côté ? Le garçon au coeur plein d'amour, de François David et Stasys Eidrigevicius, chez Motus.

 

 

 

 

Trois beaux albums : le dernier livre d'Antoine Guilloppé, superbe (Pleine Lune, Gautier-Langereau), un travail magnifique de Lionel Le Néouanic autour de la peinture (Le plus beau des cadeaux, Les grandes Personnes), et l'univers de Claudine Desmarteau, des petites bestioles qui grattent... (Mes petits démons, Albin Michel)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oh la la. Entrez. Un autre truc magnifique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un très beau roman, qui m'interroge beaucoup, écrit comme un conte, et qui résonne étrangement pour moi en ce moment (L'enfant du fantôme, de Sonya Hartnett, aux éditions des Grandes Personnes).

 

 

 

Un livre pour adultes qui m'a (presque) empêchée de dormir (Indignation, de Philipp Roth, chez Gallimard).

 

 

 

 

 

Une très très belle bd, Peindre sur le Rivage, qui m'a fait relire trois autres bd qui dormaient sur mes étagères.

 

 

 

 

 

 

 

Et des épreuves d'un livre à paraître en novembre chez Flammarion, Tout près, le bout du monde, de Maud Lethiellieux, et c'est bizarre, ça va pas être du tout facile à conseiller, mais c'est de loin le texte qui ces derniers jours me "hante" le plus, allons-y carrément.