Forêt-wood

(grâce à Gaëlle, encore, youpi... !!)

 

Cette année, les éditions du Rouergue fêtent leurs vingt ans. Et pour fêter ça, il y a un blog, ici.
Qui ne peut que nous toucher, au coeur, évidemment.


"À chaque grand événement l'homme a toujours planté un arbre. Arbre de fécondité, d’indépendance, de festivité, de naissance, de liberté. Alors, pour fêter les vingt ans du Rouergue jeunesse, on vous propose de planter, vous aussi, vos arbres. De cultiver votre imaginaire... "

 

Alors évidemment j'adore (aussi) l'arbre de Joanna Concejo, mais aussi beaucoup celui de Michel Galvin. Quant aux mots... je vous laisse lire ceux-là, intitulés Racines, d'Hélène Vignal.

et puis ceux-là aussi, évidemment

de Stéphane Servant : 

 

L’arbre à questions.

Semez des points d’interrogations.

Arrosez. Avec quoi ?

Laissez pousser. Combien de temps ?

Et comment ?

Et pourquoi ?

(Quand vous en avez assez des questions, élaguez l’arbre avec un parceque bien affuté.)

 

 

Arghhh mais il y a plein, plein d'arbres... ! Je ne les avais pas tous vus, au départ. Donc si vous êtes blondes comme moi, ils sont là.

et puis moi je pense à une phrase recopiée un jour et qui est depuis restée dans mon sac, hop je la ressors elle est là :

"il ne faut jamais dire à un enfant : un arbre. Il faut lui dire un aulne, un tilleul, un cerisier" (Tomi Ungerer)

 

 

 

 

 

et puis bientôt disponible à l'eau vive,

"L'auberge de Tinong Binong", tome 1, de Beno Wa Zak
dont j'ai piqué le trailer chez Simon